lundi 3 août 2009

PEREK CHIRA DE CHABBATH

B"H

« PEREK CHIRA »

CHIR HAY-YIH'OUD LÉYOM HACHABBAT

Az bay-yom hach-chévi-î nah'ta, yom hach-chabbat âl quéne bérackta : véâl quol-poâl téhil-la âroucka, h'assidécka béckol ête yévaréckoucka :

Barouck Adonaï yotsér quoul-lam, Élohim h'ay-yim ouméléck ôlam : qui méolam âl âvadécka, rob rah'amécka wah'assadécka :

Ouvmisraïm hah'il-lota léhodiya^, qui méod na-âléta âl quol élohim, ba-âssot bahém chéfatim guédolim oubélohéhém :

Bévok-âcka yam souf, âm-mécka raou hay-yad hag-guédola way-yirahou : nihart-ta âm-mécka la-âssote lack, chém tif-éréte léhar-ote guod-lack :

Wédib-bart-ta îm-mam mine hach-chamayim, wéram hé-âvim natéfou mayim : yada^t-ta lécktam ham-midbar, bééresse siy-ya, ich lo âbar :

Tat-ta léâmécka dérane chamayim, wécké-âfar chéér oumissour mayim : téraréch goyim rab-bin âm-mim, yiréchou arssam waâmal léoum-mim :

Ba-âvour yichmérou houq-qim wétorote, imrote Adonaï amarote téhorote : way-yit-âd-dén-nou bémir-ê chaméne, ouméh'almich sour palré chaméne :

Bénouh'am banou îr kod-chécka, waïfaarou bét mikdachéka : wat-tomér po échéb lé-orèck yamim, séda baréck abaréch :

Qui cham yizbéhou zibh'é-sédék, az quohanécka yilbéchou-sédék : oubéte kal-léwi né-îmote ézam-mérou, lécka yitroâ-oû af yachirou :

Béte Ysraël wéyir-é Adonaï, yéchab-béh'ou wéyodou chim-cka Adonaï : hétivota méod larichonime, qén tétiv gam la-ah'aronim :

Adonaï tassisse na âlénou, qaachér sasta âl aboténou : otanou léharb-bote oulhétib, wénodé-lécka léôlam qui tétib :

Adonaï tibné îrécka méhéra, qui âléha chim-cka nikra : wékéren Dawid tasmiyah' bahh, wétichqone léolâm Adonaï békirbahh :

Zibhé-sédéh cham-ma nizbéh'a, wéckimé kédém téêrab min'ha : oubarèck âm- mécka béor panécka, qui hafessim la-âssote réssonécka :

Oubirsonécka ta-âssé héfsénou, hab-béte na, âm-mécka qoul-lanou : béh'artanou héyiote lécka lé-âm séroul-la, âl-âm-mécka birckatécka séla :

Wétamid néssap-per –téhil-latécka, ounhallél léchém tif-artécka : oumib-birckatécka âm-mécka yéborack, ki éte- qol achér tébaréck méborack :

Wa-ani béôdi ahaléla bor-i, waabaréckéhou qol-yémé séva-i : yéhi chém Adonaï méborack léolâm, min-haôlam wéâd- haôlam :

vendredi 24 juillet 2009

SEGOULA POUR LA FERTILITE DANS LE COUPLE

B"H

PARACHAT YTRO

En arrivant dans le désert du Sinaï, les Hébreux ne reçurent pas tout de suite la Torah, car ils n’en étaient pas dignes. Ils avaient retenu beaucoup de mauvaises habitudes des Égyptiens et avaient été influencés par leur conduite. Pendant sept semaines entières ils se préparèrent à recevoir ce cadeau : ils firent techouva, mirent fin à leurs querelles et s’unirent. Hachem dit : « Je peux maintenant leur donner Ma Torah de paix puisqu’ils ont appris à vivre en harmonie les uns avec les autres », ils arrivèrent au pied de la montagne. Hachem leur donna encore un jour pour se reposer, puis, Il convoqua Moshé au sommet de la montagne et lui donna Ses instructions concernant la façon de préparer les Bné-Israël à Matan Torah
Dans le journal Marvé La Sama, on rapporte qu’à la fin de sa vie, Baba Salé n’a reçu personne et n’a rien mangé pendant trois jours. Au bout du 4ème jour, RAV ARIEL (son gendre) a pénétré chez lui et lui a demandé : « Baba Salé, s’il te plaît, que se passe-t-il ? ». Et celui-ci a répondu : depuis trois jours je vois un grand jugement dans le ciel entre le peuple d’Israël, Essav et Ishmaël. L’ange Ishmaël accuse Israël devant le Grand Tribunal. « Nous, nous sommes pudiques », déclare Ishmaël ! Mikaël, l’ange d’Israël, rétorque : « nous avons supporté de nombreux exils, notamment chez Essav (Edom), lequel nous a incité à la mode ». Et l’ange Ishmaël de répondre : « même dans les pays tels que Edom, nous portons le chador ! »
Après le 3ème jour, l’ange Mikaël affirme que si les femmes d’Iran et de Turquie étaient libres elles enlèveraient leur chador.
Malheureusement, cela n’a pas suffi : les personnes âgées ont été punies à cause du manque de pudeur des femmes. Il y aura de nombreux accidents : les personnes âgées vont se fracturer les pieds ou les mains car les femmes ont laissé ces parties découvertes ! Voilà ce qu’a vu Baba Salé ! dit : « lorsque J’ai donné la première mitsva à Adam et non à Hava, elle a fauté par la suite. Maintenant, Je M’adresserai en premier lieu aux femmes afin qu’elles ne s’imaginent pas que leurs transgressions sont moins graves que celles des hommes ».
Voilà pourquoi le verset vient préciser « ségoula » : le peuple élu est « un trésor » parmi tous les peuples grâce aux femmes et à leur retenue entre autres.
Un autre verset nous prouve que le peuple d’Israël ne fait qu’un. Dans la Parachat Ye’hezqel (chap. 34 verset 31), le peuple d’Israël est comparé à un homme (« Adam ata », c’est à dire : « tu es un homme »). Certains en sont le cœur, ce sont les tsadikim; d’autres tsadikim en sont les yeux. Cette parabole signifie que tous les juifs sont reliés par la chaîne invisible des mitsvot. Chacun doit accomplir la mission qui lui est propre et tout le klal Israël en sera récompensé. Nous comprenons mieux maintenant la phrase de notre Paracha « naasse ve nichma », le peuple d’Israël parle au singulier pour signifier qu’il ne forme qu’une seule entité.
Revenons à la Paracha de la semaine : dans le verset 4 de la Parachat Yitro (chap. 19) il est dit : « vous avez vu ce que J’ai fait en Egypte, Je vous ai portés sur des ailes d’aigle (ESSA, porter, veut dire en fait élever). Selon le Midrash, c’est relatif à la chira (chant dit lors de la traversée de la Mer Rouge) : Hachem a préféré que la chira soit dite par les hommes d’abord plutôt que par les anges.
Les hommes ont commencé à chanter puis les femmes mais les anges se plaignirent ainsi à Hachem « Cela ne suffit pas que les hommes aient chanté avant nous, mais même les femmes nous ont devancés ! » et Hachem leur a répondu (Hayekhem ken) :
« un homme vit normalement soixante-dix ans ou quatre-vingts si Je décide de le récompenser. Étant donné que la vie de l’homme est plus courte que celle d’un ange, je privilégie l’homme ».
Les femmes étaient enthousiastes pour chanter mais par pudeur elles ont laissé les hommes le faire en premier.
Les femmes se sont bien comportées en Égypte :
Malgré la dureté de la vie elles ont incité les hommes à avoir des enfants.
Elles n’ont pas eu de relation avec les Égyptiens.
Elles n’ont pas changé leurs habits : elles ont respecté la tsniout (pudeur) ;
La tsniout dont elles ont fait preuve en Égypte est une des raisons qui ont poussé Hachem à transmettre tout d’abord aux femmes Sa Torah.
Il y en a d’autres :
Les femmes ont l’obligation d’observer les mitswoth à douze ans (un an plus tôt que les hommes), de même elles ont reçu les mitswoth plus tôt à Matan Torah, puisque les femmes ont été distinguées de cette manière, elles allaient s’efforcer, davantage encore, de fournir à leurs enfants une éducation conforme à la Torah.
Nombre de personnes pensent qu’il y a des Saints dans les nations, mais pour le peuple d’Israël ce n’est pas comme cela : nous sommes tous ensemble - femmes, hommes et enfants - le trésor d’Hachem (Ségoula), David Hamelekh fait appel à tout le peuple d’Israël et dit : « Gadélou la hashem ITI veromema chemo Yah’dav » (Magnifiez Hachem avec moi et ensemble célébrons Son nom). Tous ont reçu la Torah comme une seule personne.
Une autre explication est donnée par Zalman Srous kin (Zal) : « de ma chair, je verrai Hachem » (Job 19) - d’un sentiment profond (la émounah) je verrai Hachem.
Or, les femmes sont plus sentimentales que les hommes qui sont, quant à eux, plus logiques. Pour recevoir la Torah, il faut : la Emounah tout d’abord, puis, la logique (Naassé vé nichma).
Il faut savoir que, dans le 6ème commandement, ne pas tuer et ne pas faire la débauche sont dans le même verset (Chap. 20 verset 13). En fait, toutes les nations savent qu’il ne faut pas tuer (c’est une logique) mais si logiquement une personne me dérange je peux la tuer (par exemple les nazis) ; néanmoins, les juifs ne tuent pas parce que Hachem leur dit de ne pas tuer. Dans une avera, ce n’est pas seulement l’acte qui est interdit, une pensée peut aussi s’appeler transgresser. Prenons comme illustration la débauche : la Torah nous dit dans le 3ème paragraphe de Chéma que par les yeux on peut être amené à la débauche.
La femme juive qui est le pilier de la maison juive, doit se conduire comme la halakha le demande pour la tsniout et ainsi les Bné-Israël seront toujours une ségoula pour Hashem. Amen !

LES MITSWOTH A CHAQUE INSTANT

Le premier des 10 commandements est : « JE SUIS L’ETERNEL TON D. QUI T’AI FAIT SORTIR D’EGYPTE ». La Michna Béroura (Orah Haim) dans le biour halakha du nom de sefer hinoukh (613 mitswoth) mentionne qu’il y a six mitswoth en vigueur à chaque instant pour l’homme et la femme, nous sommes comme un compteur en marche. Chaque seconde nous permet d’accomplir un commandement

Le premier serait de CROIRE QUE HACHEM EXISTE (hanokhi : Je suis l’Eternel, Ton D.), qu’Il a donné l’existence à tout ce qui a existé, existe et existera, ainsi qu’à tous les mondes, par son pouvoir et par sa volonté et c’est Lui qui surveille toute la Création. C’est là le fondement de la foi : quiconque n’en est pas convaincu renie l’essentiel (Un et Unique D.) et n’a aucune part et aucun droit au sein du peuple juif. Nous avons l’obligation d’accepter de faire don de notre vie et de notre fortune pour cette croyance. Mais ce qu’il faut surtout, c’est se persuader fermement soi-même que telle est la vérité et que rien ne peut lui être substitué et que c’est Hakadoch baroukh hou qui nous a faits sortir d’Égypte et qu’il nous a donné la Torah.

La 2ème serait de NE PAS CONCEVOIR L’IDEE QU’IL PUISSE EXISTER UN AUTRE D. EN DEHORS D’HACHEM

Il est dit : « tu n’auras pas d’autre D. que moi » (Chémot 20,3). Celui qui s’imagine, hass vechalom, qu’il y a un autre D. que Hachem, ou qu’Il a quelque associé, hass vechalom, ou qui croit qu’il y a quoi que ce soit de vrai dans l’idolâtrie, hass vechalom, renie le principe essentiel (D. un et unique). On ne prononcera aucune parole, hass vechalom, qui puisse être interprétée comme hérétique, ou aucune parole pouvant passer pour une reconnaissance de l’idolâtrie, car reconnaître l’idolâtrie c’est renier la Torah toute entière puisqu’on renie le principe essentiel. Nous avons l’obligation de sacrifier notre vie et nos biens pour cela, car pour tout ce qui a trait aux fondements de la foi, on doit se laisser tuer plutôt que de les transgresser.

La 3ème serait de RECONNAITRE L’UNITE D’HACHEM, CROIRE D’UNE FOI PARFAITE QU’IL EST UN, SANS AUCUN ASSOCIE, comme il est dit : « Écoute Israël, Hachem, notre D. Hachem est un » Dévarim 6,4.

C’est le fondement de la foi. Après la première reconnaissance de l’existence d’Hachem, il faut croire d’une foi parfaite qu’Il est uniquement Un, d’une unité absolue et parfaite. Il n’est pas un être physique et aucun concept physique ne peut s’appliquer à son unité. Rien
De ce qui peut affecter un être physique ne peut l’affecter. Il n’a pas de second et, sans lui, il n’y a pas d’Hachem.

La 4ème serait de : AIMER HACHEM DE TOUT SON CŒUR ET DE TOUTE SON AME ET DE TOUT SON POUVOIR

Il est dit « Tu aimeras Hachem ton D. de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton pouvoir » (Devarim 6,5).
Pour parvenir à l’amour d’Hachem, il faut méditer ses œuvres afin de les comprendre dans la mesure de nos possibilités, pour éveiller notre cœur à son amour. Cet amour est essentiel pour nous et nous devons diriger toutes nos pensées vers l’adoration d’Hachem. Or on ne peut aimer le Saint béni soit-Il que lorsqu’on le connaît, et l’amour d’un homme est fonction de sa connaissance d’Hachem : si elle est limitée, son amour pour lui le sera également ; si elle est vaste, il le sera aussi. L’homme doit donc se concentrer, comprendre et méditer la sagesse et la vérité qui proclament la gloire du Créateur, dans toute la mesure de ses facultés.
Cette mitsva comprend également l’obligation d’amener les êtres humains à servir Hachem et à propager Son amour parmi les êtres qu’Il a créés, à l’instar de notre patriarche Avraham, comme il est dit : « les gens qu’ils ont formés à ‘Haran… » (Béréchit 12,5).

La 5ème serait de CRAINDRE HACHEM.

Il est dit « Tu craindras Hachem, ton D. » (Dévarim 6,13). On parvient à le craindre comme on parvient à l’aimer, de la façon expliquée ci-dessus (paragraphe 3). Lorsqu’on est tenté de commettre une faute, on a l’obligation de se remémorer que le Saint béni soit-Il observe chacune des actions de l’homme.

La 6ème serait de NE PAS SE LAISSER ENTRAINER PAR LES PENSEES DU CŒUR ET LE SPECTACLE DES YEUX

« Vous ne vous égarerez pas à la suite de vos cœurs et de vos yeux » (Bamidbar 15,39). Cela signifie qu’il ne faut pas concevoir de pensée susceptible d’ébranler l’un des principes de la foi, car le mauvais penchant incite à l’hérésie, hass vechalom ! « Le spectacle que voient les yeux », c’est l’immoralité. Nos Sages disent aussi : « à la suite de votre cœur », c’est l’hérésie ; « vos yeux », c’est la débauche (Berakhoth 12b). Susciter et poursuivre les plaisirs et désirs de ce monde est inclus dans cette interdiction. Il faut très soigneusement éviter toute mauvaise pensée, c’est la cheville ouvrière dont tout dépend et l’homme doit se sanctifier et purifier ses pensées de toutes ses forces. Lorsqu’une chose lui procure du plaisir, il doit penser que cela lui donne la force de rester dans le sanctuaire du Roi, souverain de l’univers, béni soit-Il, et évite à son corps de s’affaiblir pour le service divin.
Celui qui a transgressé cette interdiction et conçu des pensées hérétiques, hass vechalom, des pensées de débauche ou une soif de plaisirs matériels, commet une grave faute qui l’égare du monde à venir et souille ses 248 membres et 365 nerfs, physiques et spirituels. Il faut donc être très attentif à tout cela.

Par Rav Cohen-Sedegh

lundi 13 juillet 2009

INFORMATION VITALE POUR UN CHIDDOUKH

B"H


Une personne qui apprend qu’un chiddoukh est en train de se faire et possède une information péjorative sur l’un des intéressés, a parfois le devoir de fournir ce renseignement sans attendre qu’on le lui demande.
Le commandement :
"Ne sois pas indifférent au danger de ton prochain" (Vayikra 19,16) nous demande de parler de notre propre initiative si nous savons physique, psychique ou moral qui est objectivement susceptible de gâcher le mariage qu’on a caché ce problème à l’autre partie.
Là aussi, les conditions nécessaires pour dire des choses péjoratives dans un but constructif sont exigées :
1-L’information doit être de première main sinon, il faut le préciser clairement et dire qu’on ne l’a pas vérifiée.
2-L’information en question doit constituer un problème réel selon des critères objectifs (comme par exemple une maladie affectant l’intéressé ou sa famille, si c’est héréditaire ; des désordres mentaux sérieux ; une tendance à la violence ; une conception du Judaïsme [hachkafa] sérieusement troublée ou un style de vie non conforme à la morale) et ne pas être une opinion personnelle – même si on est persuadé que ce n’est pas ce que l’autre partie souhaite.
Il doit aussi être clair qu’on cache ce renseignement à l’intéressé.
3-Il serait préférable, si possible, de convaincre la partie qui dissimulée renseignement, de le révéler.
4-On ne doit pas exagérer ; on n’a le droit de dire que ce qui est strictement nécessaire.
5-On doit avoir l’intention d’empêcher un préjudice possible et non de dénigrer le parti suggère. De plus, il doit y avoir une éventualité solide que le renseignement donné sera pris en considération, pour que ce qu’on dit ait un caractère constructif.

Source L’étude quotidienne des lois du langage.

DONNER DES RENSEIGNEMENTS POUR UN CHIDDOUKH

B"H

A l’encontre du chadkhan ou de la personne à laquelle on demande conseil, la personne à laquelle on pose des questions précises sur l’un des intéressés ne donne pas de conseil. Son souci n’est donc pas tant de donner un mauvais conseil que d’être honnête et de s’abstenir de dire des choses qui pourraient constituer du lachon hara’.
Si on lui demander si le candidat proposé a des défauts précis, il fait certainement bien de dire la vérité. Si on l’interroge, par exemple, sur le caractère du jeune homme et qu’il sait celui-ci est emporté, il doit le dire leto’életh (dans un but constructif). Bien entendu, les conditions exigées pour rapporter ce genre de choses doivent être remplies (les informations provenant d’une source indirecte doivent être présentées comme telles l’intention doit être purement constructive ; enfin on ne peut rapporter que des informations exactes et nécessaires).
Cependant, lorsqu’on est interrogé sur un détail sans véritable importance au plan objectif mais qui en a beaucoup pour l’intéressé, on est devant un dilemme. En donnant le renseignement demandé, on donne à l’intéressé une raison d’abandonner un chiddoukh qui pourrait s’avérer excellent.
D’un autre côté, il n’est pas justifié d’induire l’intéressé en erreur en lui donnant un renseignement inexact et de décider de son avenir à son insu. Dans un cas semblable, le ‘Hafèts ‘Haïm suggère de temporiser en disant qu’on n’en sait rien.
En résumé, si un candidat au mariage insiste pour que la jeune fille qu’on lui propose ait au moins quatre ans de moins que lui, n’ait jamais eu de mauvaise note en composition à l’école primaire ou répondre à d’autres critères apparemment dénués d’importance, on doit se contenter de répondre qu’on n’en sait rien. En revanche, le chadkhan n’a pas le droit de proposer un candidat ne répondant pas aux critères requis sans demander d’abord l’avis d’un Rav.

Source L’étude quotidienne des lois du langage.

CONSEIL POUR UN CHIDDOUKH

B"H



Les règles s’appliquaient à la personne qui propose un chiddoukh, un emploi ou une association d’affaires. La halakha le considère comme un ‘’ conseiller ‘’ et ne l’autorise pas à faire cette proposition s’il a des raisons de penser qu’elle pourrait ne pas être de l’intérêt d’une des deux parties.
Les mêmes règles s’appliquent à la personne qui n’a pas elle-même fait la proposition ; mais chez laquelle les intéressés viennent prendre des renseignements. Ce ‘’ conseiller ‘’ non plus n’a pas le droit de les induire en erreur. En fait, du chadkhan, qui ne fait que suggérer qu’on examine une proposition, tandis que lui donne une opinion bien définie qui peut avoir une influence décisive sur les intéressés.
Jouer les conseillers n’est pas une chose à prendre à la légère. On ne doit pas proposer ses conseils si on ne pense pas qu’on comprend bien la situation, et qu’on n’a pas la sagesse ni l’expérience voulues pour guider correctement les intéressés. On ne doit jamais encourager une proposition dont on ignore tout, pour la simple raison qu’on voudrait voir l’intéressé ‘’ se marier enfin ‘’. On ne peut l’encourager que si on pense sincèrement qu’elle est bonne pour les deux.
Par conséquent, bien qu’on ait d’abord des obligations vis – à – vis du côté qui demande conseil, on n’a pas le droit d’encourager un chiddoukh qu’on trouve nettement mauvais pour l’autre. Ce serait une forme de propos interdits parce que susceptibles de nuire.
Un ‘’ conseiller ‘’ n’a pas non plus le droit de dissuader les intéressés, à moins que son opposition ne soit fondée sur des renseignements de première main soigneusement analysés.
Enfin, si on a encouragé l’intéressé à songer à une certaine proposition mais qu’il a négligé ce conseil, on n’a pas le droit d’en tirer la conclusion qu’il ‘’ ne veut tout simplement pas se marier ‘’, est ‘’ incapable de prendre une décision ‘’ ou ‘’ n’est pas réaliste ‘’. Faire des commentaires de ce genre serait du lachon hara’, voire de la hotsaath chem’ra’ (calomnie)

Source L’étude quotidienne des lois du langage

mercredi 17 juin 2009

PEREK CHIRA CHAPITRE 4

Le chant de la création

Tarnégol omére : « Bécha-â chéb-ba Hak-kadoch Barouck Hou éssel hatsad-dikim bérane-Édéne, zolfime quol ilané Rane-Édéne bésamime, oumran-nénime oumchab-béh'ime, wéaz game hou mit-ôrére oumchab-béyiah'.

Le coq dit : « Au moment où Le Saint Béni soit-Il se retrouve avec les Justes dans le Jardin d'Édéne, tous les arbres de Jardin se répandent en parfums, chantent et louent D-ieu. Alors le coq aussi se réveille et Lui rend hommage.
(Zohar 3, 22 :).

Békol richone omére : « Séou ché-ârime rachéckème, wéhin-nasséou pith'é ôlamwéyabo Méléck haq-quabod : Mi zé Méléck haq-qab-bod ? Adonaï Iz-zouz wérib-bor, Adonaï guib-bor milh'ama.

Au premier chant, il dit : « Exhaussez Ô portes, vos frontons, relevez-vous, portails antiques, pour qu'Il entre le Roi de Gloire. Qui est donc ce Roi de Gloire ? L'Éternel fort et puissant, L'Éternel Héros de guerre.
(Psaumes 24, 7-8).

Békol chéni omére : Séou ché-ârime rachéckème ous-ou pit-h'é ôlam, wéyabo Méléch haq-qab-bod. Mi Hou zé Méléck haq-qab-bod ? Adonaï Cébaote Hou Méléck haq-qab-bod séla !
Au deuxième chant, il dit : « Exhaussez Ô portes, vos frontons, relevez-vous, portails antiques, pour qu'Il entre le Roi de Gloire. Qui donc est ce Roi de Gloire ? L'Éternel, D-ieu des armées célestes, c'est Lui le Roi de Gloire, à tout jamais ».
(Psaumes 24, 9-10).

Békol chélichi omére : « îmdou sad-dikime wé-ïsskou bat-Torah quédé chéy-yihyé séckarchéme quafoul la-ôlam hab-ba.

Au troisième chant, il dit : « Levez-vous, Justes, et consacrez-vous à la Torah afin que votre récompense soit doublée dans le monde futur.

Békol rébi-ï omére : « Lichou-âtécka kiv-viti, Adonaï ».
Au quatrième chant, il dit : « Sur Ton salut, je compte Ô Éternel ! ».
(Genèse 49 : 18 ).

Békol h'amichi omére : Âd mataï, âssel tichkab ? Mataï takoum mich-chénatécka ?

Au cinquième chant, il dit : « Paresseux, jusqu'à quand resteras-tu couché ? Quand t'éveilleras-tu de ton sommeil ?
(Proverbes 6 : 9 ).

Au sixième chant, il dit : « Ne désire pas trop de sommeil, sous peine de t'appauvrir. Ouvre tes yeux et tu auras du pain en abondance. »
(Proverbes 20 : 13)

Békol chichi omére: Al tééhab chéna, péne tiwaréche, pékah' ê-nécka séba^ lah'éme ».

Au septième chant, il dit : « Le temps est venu d'agir pour l'Éternel ; on a violé Ta loi ».
(Psaumes 119 : 126)

Békol chébi-î omére : « Ête la-âssot Adonaï héférou toratécka. »

La poule dit : « D-ieu donne du pain à toutes Ses créatures, car Sa bonté est éternelle. »
(Psaumes 136 : 25)

Tarnégoléte oméréte : Noténe léh'éme léckol bassar. qui léôlam h'asdo.

La colombe dit : « Ainsi qu'une hirondelle plaintive, je gémissais, je roucoulais comme une colombe ; mes yeux s'élevaient vers Toi : Éternel ! Je suis accablé, sois mon garant ! »
(Isaïe 38 : 14 )

Yona oméréte : quésousse ârour, quéne asafséfe éhgué quay-yona dal-lou ênaï lam-marom Adonaï ôchkal-li ôrvéni.

La colombe dit devant l'Eternel : Maître du Monde ! « Que ma subsistance soit amère comme l'olive mais prodiguée par Ta main, plutôt douce comme le miel, par la main de l'homme. »
(Traité Îroubine 18b)

Oméréte yona lifné Hak-Kadoch Baroukh Hou : Rib-bono chél ôlam ! yihyou mézonotaï mérourim quézaïte béyadékha, véal yihyou métoukime quidvach âl yédé bassar wadame.

L'aigle dit : « Tu es bien l'Éternel, Tout-Puissant, le D-ieu des armées célestes, le D-ieu d'Israël, réveille-Toi pour châtier tous ces peuples, n'épargne aucun de ces perfides malfaiteurs, à tout jamais. »
(Psaumes 59 : 6)

Néchér omére : Wéat-ton Adonaï Élohime Cévaote, Élohé Yisraël, hakissa lifkod quol hag-goyim, al tah'one quol bordé avène séla.

La grue dit : « Rendez hommage à l'Éternel avec la harpe, célébrez-Le par le luth à dix cordes. »
(Psaumes 33 : 2)

Ârour omére : « Hodou Adonaï békhin-nor, bénével âssor zam-mérou Lo. »

L'oiseau dit : « Même l'oiseau a trouvé un abri, le passereau, un nid où il garde ses petits. (Moi je rêvais) de Tes autels, Éternel, le Roi des armées célestes, mon Roi et mon Dieu.
(Psaumes 84 : 4)

Sip-por omère : « Gam sip-por mass-a bayite oudror quène lahh achér chata éfroh'éha éte mizbéh'otécha. Adonaï Cébaote malqui wélohaï. »
Békol h'amichi omére : Âd mataï, âssel tichkab ? Mataï takoum mich-chénatécka ?

Au cinquième chant, il dit : « Paresseux, jusqu'à quand resteras-tu couché ? Quand t'éveilleras-tu de ton sommeil ?
(Proverbes 6 : 9 ).

Au sixième chant, il dit : « Ne désire pas trop de sommeil, sous peine de t'appauvrir. Ouvre tes yeux et tu auras du pain en abondance. »
(Proverbes 20 : 13)

Békol chichi omére: Al tééhab chéna, péne tiwaréche, pékah' ê-nécka séba^ lah'éme ».

Au septième chant, il dit : « Le temps est venu d'agir pour l'Éternel ; on a violé Ta loi ».
(Psaumes 119 : 126)

Békol chévi-î omére : « Ête la-âssot Adonaï, héférou toratécka. »

La poule dit : « D-ieu donne du pain à toutes Ses créatures, car Sa bonté est éternelle. »
(Psaumes 136 : 25)

Tarnégoléte oméréte : Noténe léh'éme léckol bassar, qui léôlam h'asdo.

La colombe dit : « Ainsi qu'une hirondelle plaintive, je gémissais, je roucoulais comme une colombe ; mes yeux s'élevaient vers Toi : Éternel ! Je suis accablé, sois mon garant ! »
(Isaïe 38 : 14)

Yona oméréte : quésousse ârour, quéne asafséfe éhgué quay-yona dal-lou ênaï lam-marom Adonaï ôchkal-li ôrvéni.

La colombe dit devant l'Eternel : Maître du Monde ! « Que ma subsistance soit amère comme l'olive mais prodiguée par Ta main, plutôt douce comme le miel, par la main de l'homme. »
(Traité Îroubine 18b)

Oméréte yona lifné Hak-Kadoch Baroukh Hou : Rib-bono chél ôlam ! yihyou mézonotaï mérourim quézaïte béyadékha, véal yihyou métoukime quidvach âl yédé bassar wadame.

L'aigle dit : « Tu es bien l'Éternel, Tout-Puissant, le D-ieu des armées célestes, le D-ieu d'Israël, réveille-Toi pour châtier tous ces peuples, n'épargne aucun de ces perfides malfaiteurs, à tout jamais. »
(Psaumes 59 : 6)

Néchér omére : Wéat-ta Adonaï Élohime Cévaote, Élohé Yisraël, hakissa lifkod quol hag-goyim, al tah'one quol bordé avène séla.

La grue dit : « Rendez hommage à l'Éternel avec la harpe, célébrez-Le par le luth à dix cordes. »
(Psaumes 33 : 2)

Ârour omére : « Hodou ’Adonaï békhin-nor, bénével âssor zam-mérou Lo. »
L'oiseau dit : « Même l'oiseau a trouvé un abri, le passereau, un nid où il garde ses petits. (Moi je rêvais) de Tes autels, Éternel, le Roi des armées célestes, mon Roi et mon Dieu.
(Psaumes 84 : 4)

Sip-por omère : « Gam sip-por mass-a bayite oudror quène lahh achér chata éfroh'éha éte mizbéh'otécha. Adonaï Cébaote malqui wélohaï. »
Sénounite oméréte : « Léma-âne yézamérécka ckabod wélo yidom, Adonaï Élohaï, léôlam odéka.

L'hirondelle dit : « De la sorte, mon âme chante Ta Gloire sans relâche ; Éternel, mon D-ieu, à tout jamais je Te louerai. »
(Psaumes 30 : 13 )

Tassite omérète : « Ézri mé-îm Adonaï, ôssé chamayim wa-aresse.

Le martinet dit : « Mon secours vient de l'Éternel, qui a créé le ciel et la terre. »
(Psaumes 121 : 2)

Siy-yia oméréte : « Or zarou-wa ^ latsad-dik, oul-yichré léb simh'a ».

Le pétrel dit : « La lumière se répand sur les Justes, et la joie sur les cœurs droits ».
(Psaumes 97 : 11)

Ressifi omére : « Nah'amou nah'amou âm-mi, yomar Élohéchém ».

Le hibou dit : « Consolez, Consolez mon peuple, dit votre D-ieu ».
(Isaïe 40, 1)

H'assida oméréte : « Dab-bérou âl léb Yérouchalayim wékir-ou éléha, qui malé-a séva-ahh, qui nirssa âwonahh, qui lakéha miy-yad Adonaï quiflayim béckol hat-totéha.

La cigogne dit : « Parlez au cœur de Jérusalem et criez-lui que son temps d'épreuve est fini, que son péché est pardonné, car elle a reçu de la main de D-ieu double peine pour toutes ses fautes ».
(Isaïe 40 : 2 )

Ôréb omére : « Mi yackine la-ôréb sédo, qui yéladaw él Ël yéchav-véoû, yit-oû livli ockél.

Le corbeau dit : « Qui prépare au corbeau sa patùre, lorsque ses petits crient vers D-ieu et errent sans rien manger.
(Job 38 : 41 )

« Noténe lib-héma lah'mahh, libné oréb acher yikra-ou ».

« Il donne leur nourriture aux bêtes, aux petits des corbeaux qui la réclament »
(Psaumes 147 : 9 )

« Kol koré : Bam-midbar pan-nou déréck Adonaï, yach-chérou baâraba messil-la lélohénou ».

« Une voix appelle dans le désert : Déblayez la route de l'Éternel, nivelez dans la steppe une chaussée pour notre D-ieu ! »
(Isaïe 40 : 3 )

Zarzir omére : « Wénoda^ bag-goyim zar-âm, éssééssaéhém bétock haâm-mim, quol roéhém yaq-qiroum, qui hém zéra^ bérack Adonaï ».

L'étourneau dit : « Ainsi leur postérité sera remarquée parmi les nations, et leurs descendants parmi les peuples : tous ceux qui les verront, les reconnaîtront comme une race bénie de D-ieu ».
(Isaïe 61 : 9 )

Ran-nénou sad-dikim bAdonaï, laïcharim nawa téhil-la.

« Chantez, Ô Justes, en l'honneur de l'Éternel ! la louange sied aux hommes droits »
(Psaumes 33 : 1)

Aw-waz chéb-bab-bayite oméréte : « Hodou lAdonaï kir-ou bichmo, hodi-oû baâm-mime âlilotaw ! Chirou Lo, zam-mérou Lo ! sih'ou béckol nifléotaw ».

L'oie dit : « Rendez hommage à l'Éternel, invoquez Son Nom, faites connaître ses hauts faits. Chantez en Son honneur, célébrez-Le, entretenez-vous de toutes Ses merveilles » !
(Psaumes 105 : 1-2)

Aw-waz hab-bar ham-méchotététe bam-midbar quéchéroa éte Yisraël ôssékim bat-Torah, oméréte : Kol koré bam-midbar, pan-nou déréch Adonaï, yach-chérou baârava, messil-la lÉlohénou.

« Quand l'oie sauvage se déplaçant dans le désert, voit Israël se consacrer à l'étude de la Torah, elle dit : « Une voix proclame dans le désert : « Déblayez la route de l'Éternel, nivelez dans la campagne aride, un passage pour notre D-ieu ».
(Isaïe 40 : 3 )

Wéâl messioute mézonotéha bam-midbar oméréte : « Arour hag-géber achér yibtah' baadam, barouck hag-gébér achér yibtah' bAdonaï, wéhaya Adonaï mibtah'o. »

Quant à la difficulté de trouver sa nourriture dans le désert, elle dit : Maudit soit l'homme qui place sa confiance en un mortel … Béni celui qui se confie en l'Éternel, et dont l'Éternel est l'espoir ».
(Jérémie 17 : 5-7 )

Pérouriy-yot omérote : « Yodoucka Adonaï quol malcké aresse, qui chamé-oû imré ficka »

Les cannetons disent : « Tous les Rois de la terre Te loueront, Éternel, après avoir entendu les paroles de Ta Bouche ».
(Psaumes 138 : 4 )

Noussah' ah'ére : Bith'ou bAdonaï âdé âd, qui béYahh Adonaï, Sour ôlamim ».
Autre version : « Mettez votre confiance en l'Éternel toujours et toujours, car en D-ieu, l'Éternel, vous avec un roc immuable ».
(Isaïe 26 : 4)

Rah'ama oméréte : « Echréka lahém waakab-béssém qui péditim, wérabou quémo rabou ».

Le percnoptère dit : « Je leur ferai entendre Mon signal et Je les rassemblerai, car Je les aurai rachetés, et ils redeviendront nombreux comme ils l'ont été ».
(Zacharie 10 : 8)

Sip-poréte quéramim oméréte : « Es-sa ênaï él héharim, méayine yabo ézri ».

Le criquet dit : « Je lève les yeux vers les montagnes pour voir d'oû me viendra le secours ».
(Psaumes 121 : 1)

H'assil omére : « Adonaï Élohaï, Atta aromimcka odé chimcka qui âssita pélé êssote mérahoq émouna omène.

La sauterelle dit : « Éternel, Tu es mon D-ieu ! Je veux exalter et louer Ton Nom, car Tu as accompli des merveilles, parfaitement fidèles aux résolutions d'antan. »
(Isaïe 25 : 1)

Chémamite omérète : « Halélouhou bessilssélé chama^, halélouhou béssilssélé térou-â.

Le lézard dit : « Louez-Le avec des cymbales sonores, Louez-le avec des cymbales retentissantes. »
(Psaumes 150 : 5)

Zéboub omére : « Béchaâ chééne Yisraël ôssékim bat-Torah, kol omér kéra wéamar mon ékra quol hab-bassar hassir véckol hasdo quésisse has-sadé.Yavéch h'assir navél sisse oudbar Élohénou yakoum léôlam. »

La mouche dit : « quand elle voit qu'Israël délaisse l'étude de la Thora : « Une voix dit : « Proclame ! »-« Et que proclamerai-je ? » -« Toute chair est comme l'herbe, et toute sa bonté comme la fleur des champs, l'herbe se dessèche, la fleur se fane, mais la parole de notre D-ieu subsiste à jamais.
(Isaïe 40 : 5-8)

Boré nib séfatayim, chalom, chalom larah'ok wélak-karob, amar Adonaï ourfatiw. »
Le Créateur de la parole : Paix ? paix au lointain et aux proches, dit l'Éternel et Je le guérirai ».
(Ibid. 57. 19)

Tan-ninim omérime : « Halélou éte Adonaï mine haaress, tan-ninim wéckol téhomote »

Les grands cétacés disent : « Louez l'Éternel depuis la terre, grands cétacés et les profondes abysses ».
(Psaumes 148 : 7)

Liv-yatane omére: Hodou lAdonaï qui tob, qui léolam h'asdo.

Le léviathan dit : « Rendez grâce au Seigneur car Il est bon, et sa bonté est éternelle ».
(Psaumes 136 : 1)

Darime omérime : « Kol Adonaï âl ham-mayim Ël haq-qabod hir-îme Adonaï âl mayim rab-bime ».

Les poissons disent : « La voix de l'Éternel retentit sur les eaux, le D-ieu de gloire tonne sur les grandes eaux ».
(Psaumes 29 : 3)

Séfard-déya^ oméréte : « Barouchk chém québod malckouto léolam waèd ».

La grenouille dit : « Que le Nom glorieux de Son règne soit béni à tout jamais ! ».
(Yoma Chap. 3 : 48b)

Békol h'amichi omére : Âd mataï, âssel tichkab ? Mataï takoum mich-chénatécka ?

Au cinquième chant, il dit : « Paresseux, jusqu'à quand resteras-tu couché ? Quand t'éveilleras-tu de ton sommeil ?
(Proverbes 6 : 9 ).

Au sixième chant, il dit : « Ne désire pas trop de sommeil, sous peine de t'appauvrir. Ouvre tes yeux et tu auras du pain en abondance. »
(Proverbes 20 : 13)

Békol chichi omére: Al tééhab chéna, péne tiwaréche, pékah' ê-nécka séba^ lah'éme ».
Au septième chant, il dit : « Le temps est venu d'agir pour l'Éternel ; on a violé Ta loi ».
(Psaumes 119 : 126)

Bémol Chebbi-î moëre : « Été la-assota Adonaï, héférou toratécka. »

La poule dit : « D-ieu donne du pain à toutes Ses créatures, car Sa bonté est éternelle. »
(Psaumes 136 : 25)

Tarnégoléte oméréte : Noténe léh'éme léckol bassar, qui léôlam h'asdo.

La colombe dit : « Ainsi qu'une hirondelle plaintive, je gémissais, je roucoulais comme une colombe ; mes yeux s'élevaient vers Toi : Éternel ! Je suis accablé, sois mon garant ! »
(Isaïe 38 : 14 )

Yona oméréte : quésousse ârour, quéne asafséfe éhgué quay-yona dal-lou ênaï lam-marom Adonaï ôchkal-li ôrvéni.

La colombe dit devant l'Eternel : Maître du Monde ! « Que ma subsistance soit amère comme l'olive mais prodiguée par Ta main, plutôt douce comme le miel, par la main de l'homme. »
(Traité Îroubine 18b)

Oméréte yona lifné Hak-Kadoch Baroukh Hou : Rib-bono chél ôlam ! yihyou mézonotaï mérourim quézaïte béyadékha, véal yihyou métoukime quidvach âl yédé bassar wadame.

L'aigle dit : « Tu es bien l'Éternel, Tout-Puissant, le D-ieu des armées célestes, le D-ieu d'Israël, réveille-Toi pour châtier tous ces peuples, n'épargne aucun de ces perfides malfaiteurs, à tout jamais. »
(Psaumes 59 : 6)

Néchér omére : Wéat-ta Adonaï Élohime Cévaote, Élohé Yisraël, hakissa lifkod quol hag-goyim, al tah'one quol bordé avène séla.

La grue dit : « Rendez hommage à l'Éternel avec la harpe, célébrez-Le par le luth à dix cordes. »
(Psaumes 33 : 2)

Ârour omére : « Hodou Adonaï békhin-nor, bénével âssor zam-mérou Lo. »

L'oiseau dit : « Même l'oiseau a trouvé un abri, le passereau, un nid où il garde ses petits. (Moi je rêvais) de Tes autels, Éternel, le Roi des armées célestes, mon Roi et mon Dieu.
(Psaumes 84 : 4)

Sip-por omère : « Gam sip-por mass-a bayite oudror quène lahh achér chata éfroh'éha éte mizbéh'otécha. Adonaï Cébaote malqui wélohaï. »
Békol h'amichi omére : Âd mataï, âssel tichkab ? Mataï takoum mich-chénatécka ?

Au cinquième chant, il dit : « Paresseux, jusqu'à quand resteras-tu couché ? Quand t'éveilleras-tu de ton sommeil ?
(Proverbes 6 : 9 ).

Au sixième chant, il dit : « Ne désire pas trop de sommeil, sous peine de t'appauvrir. Ouvre tes yeux et tu auras du pain en abondance. »
(Proverbes 20 : 13)

Békol chichi omére: Al tééhab chéna, péne tiwaréche, pékah' ê-nécka séba^ lah'éme ».
Au septième chant, il dit : « Le temps est venu d'agir pour l'Éternel ; on a violé Ta loi ».
(Psaumes 119 : 126)

Békol chévi-î omére : « Ête la-âssot Adonaï, héférou toratécka. »

La poule dit : « D-ieu donne du pain à toutes Ses créatures, car Sa bonté est éternelle. »
(Psaumes 136 : 25)

Tarnégoléte oméréte : Noténe léh'éme léckol bassar, qui léôlam h'asdo.

La colombe dit : « Ainsi qu'une hirondelle plaintive, je gémissais, je roucoulais comme une colombe ; mes yeux s'élevaient vers Toi : Éternel ! Je suis accablé, sois mon garant ! »
(Isaïe 38 : 14)

Yona oméréte : quésousse ârour, quéne asafséfe éhgué quay-yona dal-lou ênaï lam-marom Adonaï ôchkal-li ôrvéni.

La colombe dit devant l'Eternel : Maître du Monde ! « Que ma subsistance soit amère comme l'olive mais prodiguée par Ta main, plutôt douce comme le miel, par la main de l'homme. »
(Traité Roubine 18b)

Oméréte yona lifné Hak-Kadoch Baroukh Hou : Rib-bono chél ôlam ! yihyou mézonotaï mérourim quézaïte béyadékha, véal yihyou métoukime quidvach âl yédé bassar wadame.

L'aigle dit : « Tu es bien l'Éternel, Tout-Puissant, le D-ieu des armées célestes, le D-ieu d'Israël, réveille-Toi pour châtier tous ces peuples, n'épargne aucun de ces perfides malfaiteurs, à tout jamais. »
(Psaumes 59 : 6)

Néchér omére : Wéat-ta Adonaï Élohime Cévaote, Élohé Yisraël, hakissa lifkod quol hag-goyim, al tah'one quol bordé avène séla.

La grue dit : « Rendez hommage à l'Éternel avec la harpe, célébrez-Le par le luth à dix cordes. »
(Psaumes 33 : 2)

Ârour omére : « Hodou Adonaï békhin-nor, bénével âssor zam-mérou Lo. »

L'oiseau dit : « Même l'oiseau a trouvé un abri, le passereau, un nid où il garde ses petits. (Moi je rêvais) de Tes autels, Éternel, le Roi des armées célestes, mon Roi et mon Dieu.
(Psaumes 84 : 4)

Sip-por omère : « Gam sip-por mass-a bayite oudror quène lahh achér chata éfroh'éha éte mizbéh'otécha. Adonaï Cébaote malqui wélohaï. »
Sénounite oméréte : « Léma-âne yézamérécka ckabod wélo yidom, Adonaï Élohaï, léôlam odéka.

L'hirondelle dit : « De la sorte, mon âme chante Ta Gloire sans relâche ; Éternel, mon D-ieu, à tout jamais je Te louerai. »
(Psaumes 30 : 13 )

Tassite omérète : « Ézri mé-îm Adonaï, ôssé chamayim wa-aresse.

Le martinet dit : « Mon secours vient de l'Éternel, qui a créé le ciel et la terre. »
(Psaumes 121 : 2)

Siy-yia oméréte : « Or zarou-wa ^ latsad-dik, oul-yichré léb simh'a ».

Le pétrel dit : « La lumière se répand sur les Justes, et la joie sur les cœurs droits ».
(Psaumes 97 : 11)

Ressifi omére : « Nah'amou nah'amou âm-mi, yomar Élohéchém ».

Le hibou dit : « Consolez, Consolez mon peuple, dit votre D-ieu ».
(Isaïe 40, 1)

H'assida oméréte : « Dab-bérou âl léb Yérouchalayim wékir-ou éléha, qui malé-a séva-ahh, qui nirssa âwonahh, qui lakéha miy-yad Adonaï quiflayim béckol hat-totéha .

La cigogne dit : « Parlez au cœur de Jérusalem et criez-lui que son temps d'épreuve est fini, que son péché est pardonné, car elle a reçu de la main de D-ieu double peine pour toutes ses fautes ».
(Isaïe 40 : 2 )

Ôréb omére : « Mi yackine la-ôréb sédo, qui yéladaw él Ël yéchav-véoû, yit-oû livli ockél.

Le corbeau dit : « Qui prépare au corbeau sa patùre, lorsque ses petits crient vers D-ieu et errent sans rien manger.
(Job 38 : 41 )

« Noténe lib-héma lah'mahh, libné oréb acher yikra-ou ».

« Il donne leur nourriture aux bêtes, aux petits des corbeaux qui la réclament »
(Psaumes 147 : 9 )

« Kol koré : Bam-midbar pan-nou déréck Adonaï, yach-chérou baâraba messil-la lélohénou ».

« Une voix appelle dans le désert : Déblayez la route de l'Éternel, nivelez dans la steppe une chaussée pour notre D-ieu ! »
(Isaïe 40 : 3 )

Zarzir omére : « Wénoda bag-goyim zar-âm, éssééssaéhém bétock haâm-mim, quol roéhém yaq-qiroum, qui hém zéra^ bérack Adonaï ».

L'étourneau dit : « Ainsi leur postérité sera remarquée parmi les nations, et leurs descendants parmi les peuples : tous ceux qui les verront, les reconnaîtront comme une race bénie de D-ieu ».
(Isaïe 61 : 9 )

Ran-nénou sad-dikim bAdonaï, laïcharim nawa téhil-la.

« Chantez, Ô Justes, en l'honneur de l'Éternel ! la louange sied aux hommes droits ».
(Psaumes 33 : 1)

Aw-waz chéb-bab-bayite oméréte : « Hodou lAdonaï kir-ou bichmo, hodi-oû baâm-mime âlilotaw ! Chirou Lo, zam-mérou Lo ! sih'ou béckol nifléotaw ».

L'oie dit : « Rendez hommage à l'Éternel, invoquez Son Nom, faites connaître ses hauts faits. Chantez en Son honneur, célébrez-Le, entretenez-vous de toutes Ses merveilles » !
(Psaumes 105 : 1-2)

Aw-waz hab-bar ham-méchotététe bam-midbar quéchéroa éte Yisraël ôssékim bat-Torah, oméréte : Kol koré bam-midbar, pan-nou déréch Adonaï, yach-chérou baârava, messil-la lÉlohénou.

« Quand l'oie sauvage se déplaçant dans le désert, voit Israël se consacrer à l'étude de la Torah, elle dit : « Une voix proclame dans le désert : « Déblayez la route de l'Éternel, nivelez dans la campagne aride, un passage pour notre D-ieu ».
(Isaïe 40 : 3 )

Wéâl messioute mézonotéha bam-midbar oméréte : « Arour hag-géber achér yibtah' baadam, barouck hag-gébér achér yibtah' bAdonaï, wéhaya Adonaï mibtah'o. »

Quant à la difficulté de trouver sa nourriture dans le désert, elle dit : Maudit soit l'homme qui place sa confiance en un mortel … Béni celui qui se confie en l'Éternel, et dont l'Éternel est l'espoir ».
(Jérémie 17 : 5-7 )

Pérouriy-yot omérote : « Yodoucka Adonaï quol malcké aresse, qui chamé-oû imré ficka ».

Les cannetons disent : « Tous les Rois de la terre Te loueront, Éternel, après avoir entendu les paroles de Ta Bouche ».
(Psaumes 138 : 4 )

Noussah' ah'ére : Bith'ou bAdonaï âdé âd, qui béYahh Adonaï, Sour ôlamim ».
Autre version : « Mettez votre confiance en l'Éternel toujours et toujours, car en D-ieu, l'Éternel, vous avec un roc immuable ».
(Isaïe 26 : 4)

Rah'ama oméréte : « Echréka lahém waakab-béssém qui péditim, wérabou quémo rabou ».

Le percnoptère dit : « Je leur ferai entendre Mon signal et Je les rassemblerai, car Je les aurai rachetés, et ils redeviendront nombreux comme ils l'ont été ».
(Zacharie 10 : 8)

Sip-poréte quéramim oméréte : « Es-sa ênaï él héharim, méayine yabo ézri ».

Le criquet dit : « Je lève les yeux vers les montagnes pour voir d'oû me viendra le secours ».
(Psaumes 121 : 1)

H'assil omére : « Adonaï Élohaï, Atta aromimcka odé chimcka qui âssita pélé êssote mérahoq émouna omène.

La sauterelle dit : « Éternel, Tu es mon D-ieu ! Je veux exalter et louer Ton Nom, car Tu as accompli des merveilles, parfaitement fidèles aux résolutions d'antan. »
(Isaïe 25 : 1)

Chémamite omérète : « Halélouhou bessilssélé chama^, halélouhou béssilssélé térou-â.

Le lézard dit : « Louez-Le avec des cymbales sonores, Louez-le avec des cymbales retentissantes. »
(Psaumes 150 : 5)

Zéboub omére : « Béchaâ chééne Yisraël ôssékim bat-Torah, kol omér kéra wéamar ma ékra quol hab-bassar hassir véckol hasdo quésisse has-sadé.Yavéch h'assir navél sisse oudbar Élohénou yakoum léôlam. »

La mouche dit : « quand elle voit qu'Israël délaisse l'étude de la Thora : « Une voix dit : « Proclame ! »-« Et que proclamerai-je ? » -« Toute chair est comme l'herbe, et toute sa bonté comme la fleur des champs, l'herbe se dessèche, la fleur se fane, mais la parole de notre D-ieu subsiste à jamais.
(Isaïe 40 : 5-8)

Boré nib séfatayim, chalom, chalom larah'ok wélak-karob, amar Adonaï ourfatiw. »

Le Créateur de la parole : Paix ? paix au lointain et aux proche, dit l'Éternel et Je le guérirai ».
(Ibid. 57. 19)

Tan-ninim omérime : « Halélou éte Adonaï mine haaress, tan-ninim wéckol téhomote »

Les grands cétacés disent : « Louez l'Éternel depuis la terre, grands cétacés et les profondes abysses ».
(Psaumes 148 : 7)

Liv-yatane omére: Hodou lAdonaï qui tob, qui léolam h'asdo.

Le Léviathan dit : « Rendez grâce au Seigneur car Il est bon, et sa bonté est éternelle ».
(Psaumes 136 : 1)

Darime omérime : « Kol Adonaï âl ham-mayim Ël haq-qabod hir-îme Adonaï âl mayim rab-bime ».

Les poissons disent : « La voix de l'Éternel retentit sur les eaux, le D-ieu de gloire tonne sur les grandes eaux ».
(Psaumes 29 : 3)

Séfard-déya^ oméréte : « Barouchk chém québod malckouto léolam waèd ».

La grenouille dit : « Que le Nom glorieux de Son règne soit béni à tout jamais ! ».
(Yoma Chap. 3 : 48b)

PEREK CHIRA CHAPITRE 3

Le chant de la création
Les arbres des champs disent : « Alors les arbres de la forêt résonneront à l'approche de l'Éternel, car Il vient pour juger la terre ». (Chroniques I 16 :33)

Ilanote chéb-bassadé omérim : « Az yéran-nénou âssé hay-ya-âr mil-lifné Adonaïe qui ba lichpote éte ha-arésse ».

La vigne dit : « Ainsi parle l'Éternel : Tout comme lorsqu'on trouve le raisin dans sa grappe, et que l'on dit : ne la détruit pas, car c'est un fruit béni – ainsi Je me comporterai à l'égard de mes serviteurs et Je ne les détruirai pas tous ». (Isaïe 65 :8)

Guéféne omérete : « Quo amar Ado-naïe qua-acher yim-massé hat-tiroch baéchquol wéamar al tachh'itéhou qui béracka bo, quéne é-êssé léma-âne âvadaïe lévilti hach-h'it haq-quol ».

La figue dit : « Celui qui veille sue le figuier jouira de ses fruits ». (Proverbes 27 :18)

Tééna omérete : « Nossére tééna, yockal pir-yiahh ».

La grenade dit : « Ta tempe est comme une tranche de grenade à travers les tresses de tes cheveux ». (Cantique des Cantiques 4 :3)

Rim-mone omére : « Quéfélah' harim-mone rak-katéck mib-baâde léssam-matéck ».

La datte dit : « Le Juste fleurit comme le palmier ; comme le cèdre du Liban, il est élancé ».
(Psaumes 92 :13)
Tamar omére : « Sad-dique quat-tamar yifrah' qué-éréze bal-lévanone yissgué ».

La pomme dit : « Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes gens ; j'ai brûlé du désir de m'asseoir sous son ombrage, et son fruit est doux à mon palais ». (Cantique des Cantiques 2 :3)

Tap-pouwah’omére : « Qué-tap-pouwah' ba-âssé hay-ya-âr, quéne dodi béne hab-banime, béssil-lo h'im-madti wéyiachabti oufir-yo matok léh'iqui ».

Les épis de blé disent : « Cantique des degrés. Des profondeurs de l'abîme, je T'ai invoqué Ô l'Éternel ». (Psaumes 130 :1)

Chib-boléte h-it-time omérete: « Chir ham-ma-âlote. Mim-ma-âmakime quératicka Adonaïe ».

Les épis d'orge disent : « Prière d'un malheureux qui se sent défaillir et épanche sa plainte devant l'Éternel ». (Psaumes 102 :1)

Chib-boléte séôrime omérete : « Téfil-la lé-âni khi ya-âtof, wélifné Adonaïe yichpokh sih'o ».

Les autres épis disent : « Les prairies sont revêtues de troupeaux, les vallées se couvrent de céréales. Partout des clameurs de joie et des chants». (Psaumes 65 :14)

Chéar hach-chib-bolime omérime : « Lavchou kharime hatsone, wa-âmakime ya-âtfou bar; yitro-â-ôu af yachirou ».

Les légumes des champs disent : « Tu inondes les sillons, Tu écrases les mottes de terre, par des ondées Tu l'arroses, et Tu en bénis les plantations ». (Psaumes 65 :11)

Yérakot chéb-bas-sadé omérime : « Télaméha rav-vé nah'ate quédoudéha, birvivime témorérén-na, simh'ahh tébarékh ».

Les prairies disent : « Que la gloire de l'Eternel dure à jamais ! Que D-ieu se réjouisse de Ses œuvres ». (Psaumes 104 :31)

Décha-ime omérime : « Yéhi khébod Adonaï lé-ôlâme, yismah' Adonaï béma-â-ssaw ».

PEREK CHIRA CHAPITRE 2

Le chant de la création

Le jour dit : Le jour en fait le récit au jour et la nuit le fait savoir à la nuit.
(Psaume 19 :3)

Yom omére : Yom léyom yiabiyia^ omére, Wélaïla yéh'avé da-âte.
La nuit dit : « Il est beau d'annoncer, dès le matin, Ta bonté, et Ta bienveillance pendant les nuits ». (Psaume 92 :3)

Laïla omére : « Léhag-guide bab-bokére h'assdékha wéémounatécka bal-lélotte ».
Le soleil dit : « Le soleil et la lune s'arrêtent dans leur orbite, à la lumière de tes flèches qui volent, à la clarté fulgurante de Ta lance ».
(Habacuc 3 :11)
Chéméche omére : « Chéméche yiaréyiah' âmade zévoulahh, léor hitsécka yéhal-léchou, lénorahh bérak h'anitécka ».

La lune dit : « Il a crée la lune pour fixer Ses fêtes, le soleil connait le terme de sa course ».
(Psaume 104 :19)

Yiaréyiah' omérete : « Âssa yiaréyiah' lémo-âdime, chéméche yiada^ mévo-o ».

Les étoiles disent : « C'est Toi seul qui es l'Éternel ; c'est Toi qui a crée les cieux, la voûte céleste des cieux et leurs armées ; la terre et tout ce qui l'habite, les mers et tout ce qu'elles renferment ; Tu donnes la vie à tous les êtres et les armées célestes se prosternent devant Toi».
(Néhémie 9 :16)

Qockavime omérime : « At-ta hou ADONAÏE lévad-décka, at-ton âssita éte hach-chamayime, chémei hach-chamayime véckol séva-ame, ha-arésse véckol achére â- léha, hay'yiam-mime véckol achére bahéme véat-ta méhay-yié éte quoulame oussva hach-chamayime lécka michtah'avime ».

Les nuages disent : « Des ténèbres, Il se fait une mystérieuse retraite ; de l'obscurité des eaux et des nuages opaques, Il s'enveloppe comme d'un pavillon ». (Psaume 18 :12)
Âvime omérim : « Yiachéte hochéck sitro, sévivotave souqquato héchckate mayyime â-vei chéhakime».

Les nuées de gloire disent : « Il charge aussi la nuée des vapeurs humides, disperse les nuages, traversés par les éclairs ». (Job 37 :11)
Ân-nenei quavod omérim : « Al béri yiatriyiah âve, yiafits ânane oro».
Le vent dit : « Je dirai au Nord : Donne ! Au Sud : Ne les garde pas prisonniers ! Ramène Mes fils des pays lointains et Mes filles des extrémités de la terre ». (Isaïe 43 :6)

Rouvah omére : « Omar latsafone téni oultémane al tickla-i, havi-i banaïe mérahok ouvnotaïe mikssé haaréts ».

Les éclairs disent : « Il accompagne d'éclairs la pluie, fait jaillir le vent de ses réservoirs ». (Psaume 135 :7)

Bérakime omérime : « Bérakime lamator âssa, mossé rouwah méotsérotave ».
La rosée dit : « Je serai pour Israël comme la rosée ; Il fleurira comme la rose, et planetra ses racines comme le cèdre du Liban ». (Osée 14 :6)

Tal omére : « Ehyié ckat-tal léIsraël, yifrah quachochanna, véyiack charachave quaLévanone ».

Les pluies disent : « Ô D-ieu ! fais ruisseler des pluies généreuses, ainsi Tu rétabliras Ton héritage, si affaibli ». (Psaume 68 :10)

PEREK CHIRA CHAPITRE 1

Le chant de la création

Les cieux disent : « Les cieux proclament la gloire de D-ieu et le firmament célèbre l'œuvre de Ses mains ». (Psaumes 19 :2)
Chamayim omérime : « Hachamayim messap-périme qévod Él ouma-âssei yadaw mag- guide harakiya ».

La terre dit : « A l'Éternel appartient la terre et ce qu'elle renferme, le globe et ceux qui l'habitent ». (Psaumes 24 :1) et « Des confins de la terre, nous entendons des chants de gloire adressés au Juste ». (Isaïe 24 :16).
Éresse oméréte : « LADONAÏE haaresse oum-loahh tévél wéyochvei bahh ».
Wéomére : « Miquénafe haaresse zémirote chama^nou sévi latsadik ».

Le paradis dit : « Réveille-toi rafale du Nord ! Accours brise du Midi ! Balayez de votre souffle mon jardin afin que ses parfums s'épandent. Que mon Bien-Aimé pénètre dans Son jardin et en goûte les fruits exquis ».
(Cantique des Cantiques 4 :16)

Gan-Éden omére : « Oûri safone oubo-i Témane hafih'i ran-ni yiz-zélou bessamaw, yabo dodi léran-no wéyockal péri mégadaw.
L'enfer dit : « Car Il rassasia l'âme exténuée et remplit de délices l'âme affamée ».
(Psaumes 107 :9)

Guéhinome omére : « Qui hissbiyia^ néféche chokéka wénéféche ré-êva mil-lé tob ».
Le désert dit : « Que le désert et le sol aride se réjouissent ; que la morne plaine exulte et fleurisse comme la rose ».
(Isaïe 35 :1)
Midbar omére : « Yéssoussoume midbar wéssiy- ya ; wétaréle ârava wétifrah' quah'avatsaléte ».

Les champs disent : « L'Éternel par Sa Sagesse a fondé la terre, et par Son Intelligence, Il a affermi les cieux ».
(Proverbes 3 :19)

Sadote omérime : Adonaïe béh'ockma yassad arésse, quonéne chamayime bitvouna.
Les eaux disent : « Lorsqu'Il fait entendre le tonnerre, des torrents d'eau s'accumulent dans le ciel ; Il élève les nuées des confins de la terre ».
(Jérémie 51 :16)

Mayime omérime: « Lékol tit-to hamone mayime bach-chamayime, way-yiaâl néssi-ime mikssé arésse ».

Les mers disent : « Plus que le tumulte des eaux profondes et des puissantes vagues de la mer, l'Éternel est imposant dans les hauteurs ».
(Psaumes 93 :4)

Yiam-mime omérime : « Mik-kolote mayime rab-bime, ad-dirime michbérei yam, ad-dir bam-marome ADONAÏE”.
Les fleuves dissent : « Les fleuves frapperont des mains à l'unisson des chants des montagnes ».
(Psaumes 98 :8)

Néharote omérime : « Néharote yim-h'aou khaf, yah'ade harime yéran-nénou ».
Les sources disent : « Chanteurs et joueurs d'instruments de s'écrier : Toutes nos sources de bonheur sont en Toi ».
(Psaumes 87 :7)

Ma^yianote omérime : « Vécharime quéholélime, quol ma^yianaïe back ».

INTRODUCTION DU " PEREK CHIRA 3

Rabbi dit :
« Celui qui consacre du temps au Pérek Chira » en ce monde acquiert le mérite d'étudier, d'enseigner, d'observer les commandements négatifs et positifs, et son étude se maintient ; il échappe à l'instinct du mal, aux fâcheux accidents, au tourment de la tombe, à la condamnation au guéhinom et aux souffrances pré messianiques ; il reçoit longévité et mérite de connaître les temps messianiques et le monde futur. »
On a enseigné dans une braïta : « Rabbi Eliêzer dit : « Quiconque dit ce chant en ce monde, mérite de le dire dans le monde futur, comme il est dit : « Alors Moïse chantera », il n'est pas écrit : « Alors Moïse a chanté », mais il chantera dans le monde futur.
On a enseigné dans une braïta : « Rabbi Eliêzer le grand dit « Quiconque consacre du temps au Perek Chira » chaque jour, je me porte témoin qu'il aura dans le monde futur, qu'il échappera aux fâcheux accidents, à l'instinct du mal, au jugement dur, à Satan et à tous les séducteurs et autres êtres nuisibles quels qu'ils soient. Continue de tout ton cœur de te toute ton âme à connaître Mes voies et à garder les portes de Mon Palais et de Ma Tora en observant Mes commandements et Mes décrets. « Garde Ma Tora dans ton cœur et aie constamment Ma crainte devant les yeux. Préserve ta bouche et ta langue de tout pêché et culpabilité, et Je serai avec toi partout où tu iras, Je t'enseignerai le discernement et l'intelligence de toute chose. Sache que tout e que le Saint béni soit-Il a crée, Il ne l'a crée que pour Sa gloire, comme il est dit :
« Quiconque invoque Mon Nom et pour Ma gloire Je l'ai formé et aussi Je l'ai fait. »
Nos Sages ont dit que lorsque David, roi d'Israël, eut terminé la rédaction des « Psaumes », il ressentit une grande exaltation et dit devant le Saint béni soit-Il :
« Existe-il au monde un être crée qui dise des chants et des louanges mieux que moi ? » Alors une grenouille se présenta et lui dit : « David, ton exaltation est sans objet, car je sais mieux que toi chanter et célébrer D-ieu ! Et, bien plus, chacun de mes chants contient trois mille paraboles comme il est dit : « Il (Le Roi Salomon) énonce trois mille paraboles par sa parole et mille cinq par son chant ». (ROIS I 5 :12)
Mais bien plus encore, j'accomplis une grande mitsva, et voici ce dont il s'agit : il existe une créature qui vit au bord de la mer et tire toute sa substance de l'eau ; lorsqu'elle a faim, elle m'attrape et me mange. C'est là ma mitsva, pour accomplir ce qui est dit : « Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif, donne-lui de l'eau à boire, car tu attises les braises sur sa tête et l'Eternel te le revaudra (Proverbes 25 :21)». Ne lis pas : « te le revaudra » mais « te le comblera ».

lundi 1 juin 2009

B"H
DIFFERENTES SEGOULA
LE LIEN

http://www.sos-torah.org/haketorete/index.php

dimanche 31 mai 2009

UNE SEGOULA POUR SE MARIER



Il n'y a pas de solutions miracles pour trouver son mazal. Il faut faire toute la "hichtadlout" possible :

- prier D.ieu, beaucoup
- faire des chiddouhim (rencontres) gérées par des gens pleins de sagesse et doigté
- participer à des chabbath-célibataires...

Autrement, voici une ségoula (combine de la Torah) qui peut aider et qui marche souvent (elle a marché pour les femmes de deux de mes élèves). Je la tiens de Rav Guid'on ben Moché (le partenaire d'étude du Rav Ovadia Yossef) :

Il faut traverser la mer. En Israël, on fait cela sur le lac de Tibériade. En France, on peut par exemple traverser la Manche. Durant la traversée, on dira la deuxième ligne de Ana Békoa'h (page 30 du Pata'h Eliahou) : « Kabel rinat 'amékha sagvénou taharénou nora ». Ensuite, on lira en hébreu le chapitre 119 des Tehilim d'après les lettres de son prénom et de celui de sa mère (pour les hommes, on fera d'après le prénom reçu à la Brit-Mila c'est à dire par celui avec lequel on nous appelle pour monter à la Torah ; pour les filles on utilisera le prénom usuel par lequel on nous appelle habituellement, même si le nom n'est pas juif. En ce qui concerne le prénom de la mère à rappeler, on procédera comme pour le nom de la femme c'est à dire le prénom par lequel on l'appelle habituellement, bien que le prénom ne soit pas forcément juif).

Le chapitre 119 des Tehilim est composé de 22 fois 8 versets. Il y a 22 lettres dans l'alphabet juif. Ainsi les 8 premiers versets commencent par Aleph, les 8 suivants par Bet, et ainsi de suite. On lira, pour chaque lettre de son prénom, les 8 versets du chapitre 119 des Tehilim commençant par lettre correspondante.

Par exemple, si on s'appelle David ben Rivka, il lira les 8 verstes commençant par la lettre "Daleth", puis les 8 versets commençant par la lettre "Vav", etc. Il fera de même pour le mot ben (fils de), et s'il s’agit d'une femme elle dira "bat" (fille de) et fera de même pour le prénom usuel de la mère.

Ensuite, on lira 7 fois, le texte écrit page 280 du Pata'h Eliahou depuis les mots « Vihi no'am " de la façon suivante : on commencera par les mots "Vihi Noam" jusqu'aux mots "Veareou Bichouati". Ensuite on répétera tout ce texte en le lisant à l'envers de la façon suivante : "Bichouati Veareou Asbireou etc... jusqu'à no'am Vihi". On procédera de cette façon 7 fois de suite. Une fois arrivée de l'autre coté de la mer, on descendra du bateau pour toucher la terre ferme, et on recommencera la procédure durant le retour.

Par Rav Ron CHAYA

jeudi 28 mai 2009

LA LECON DU RABBI

mercredi 27 mai 2009

QUE FAIT-ON A CHAVOUOTH ?


B"H
Jeudi 28 mai au soir, vendredi 29 et samedi 30 mai 2009
On a coutume de se couper les cheveux la veille de Chavouoth, donc cette année le jeudi 28 mai 2009.
Dans la journée de jeudi, on procède au «Erouv Tavchiline» avec la bénédiction : «Baroukh Ata Ado-naï Elo’hénou Mélè’h Haolam Achère Kidéchanou Bémitsvotav Vetsivanou Al Mitsva Erouv».
Il convient de préparer un nombre suffisant de bougies pour les deux jours de fête ainsi qu’une bougie de vingt-quatre heures.
Jeudi soir 28 mai (à Paris avant 21h 23), les femmes allumeront les deux bougies de la fête, avec les bénédictions : 1) «Baroukh Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè’h Haolam Achère Kidéchanou Bémitsvotav Vetsivanou Lehadlik Nèr Chèl Yom Tov» - («Béni sois-Tu Eternel, notre D.ieu, Roi du monde, qui nous as sanctifiés par Ses commandements et nous as ordonné d’allumer les bougies du jour de fête» et 2) «Baroukh Ata Ado-naï Elo-hénou Mélè’h Haolam Chéhé’héyanou Vekiyemanou Vehigianou Lizmane Hazé» - («Béni sois-Tu Eternel, notre D.ieu, Roi du monde, qui nous as fait vivre, exister et qui nous as fait parvenir à ce moment»).
Vendredi soir 29 mai, elles allumeront les bougies de Chabbat et de la fête (à Paris avant 21h 23) - à partir de la bougie de vingt-quatre heures allumée avant jeudi soir - avec les bénédictions :
1) «Baroukh Ata Ado-naï Elo’hénou Mélè’h Haolam Achère Kidéchanou Bémitsvotav Vetsivanou Lehadlik Chel Chabbat Vechel Yom Tov».
2) «Baroukh Ata Ado-naï Elo’hénou Mélè’h Haolam Chéhé’héyanou Vekiyemanou Vehigianou Lizmane Hazé».
La fête se termine samedi soir 30 juin après 22h 47 (heure de Paris).
Il est de coutume d’étudier toute la première nuit de Chavouoth.
Tous, hommes, femmes et enfants, même les nourrissons, se rendront à la synagogue vendredi matin 29 mai pour écouter la lecture des Dix Commandements. On marque ainsi l’unité du peuple juif autour de la Torah, et on renouvelle l’engagement d’observer ses préceptes.
On a l’habitude de prendre un repas lacté le matin avant le vrai repas de viande vendredi midi.
Samedi 30 mai, on récite, pendant l’office du matin, la prière de Yizkor en souvenir des disparus : on donnera de l’argent à la Tsedaka pour leur mérite.

samedi 23 mai 2009

SEGOULA POUR LA FERTILITE DANS LE COUPLE

B"H

SEGOULA POUR LA FERTILITE DANS LE COUPLE

Les paroles succinctes du cabbaliste Rabbi ‘Haïm Palaggi sont dans les cœurs :
La veille de Chavouoth on pensera prendre onze pièces puis on complétera la somme pour parvenir à la double valeur numerique que du mot - -ben – (52 X 2 – 104). On remettra cet argent à un érudit pauvre et humble. Ce don effectue le tikoun d’Adam Harichone, de la faute du veau d’or et du pgam habrit. C’est une ségoula pour ceux qui n’ont pas d’enfants et cela rapproche la délivrance.
[Ces dernières années, lorsque cette ségoula s’est fait connaître dans le monde entier, des centaines de familles ont eu un enfant après des années d’attente.]

vendredi 22 mai 2009

B"H
LIEN POUR LA LECTURE ET L'ETUDE DU PEREK CHIRA
SEGOULA POUR LE MAZAL ET LA FERTILITE DANS LE COUPLE
http://sos-torah.org/perek-chira/index.php

IMPORTANCE DE L'ETUDE JOURNALIERE DU PEREK CHIRA

B"H

IMPORTANCE DE L’ETUDE JOURNALIERE DU PEREK CHIRA

Par le Rav Chlomo KEMMOUN de Jérusalem
Pour lire l'article au format PDF, cliquez ici
PEREK CHIRA
Le Cantique de la Création

Du Roi David et son fils le Roi Salomon

Nous allons, par ces quelques lignes, essayer d'effleurer la notion de Perek Chira

Le cantique de chaque élément est sa raison d'être et son essence.
Chaque créature sait exactement pourquoi elle a été créée
et ce que Hachem attend de lui. Seul l'homme avec son
libre-arbitre peut se tromper et vivre 120 ans en passant à
coté de son but.
C'est pourquoi le fait de lire et d'étudier le Perek Chira permet à l'homme de trouver plus facilement son but et sa raison d'être personnels.
Le fait même d'envisager qu'une grenouille puisse dire tous les
jours plus de louanges que le Roi David est
rabaissant au début, mais c'est en comprenant notre
véritable dimension que nous pourrons être à notre place
et faire vraiment la Volonté du Saint, Béni soit-Il.
L'ange d'Esaü a été obligé de bénir Yaacov car c'était son heure de monter pour louanger Hachem, et comme le fait
de louanger est une question existentielle, c'était la vie ou la mort pour lui, il a donc été obligé de bénir Yaacov pour qu'il le laisse partir!

Citations de Livres Saints sur l'Importance de la lecture et l'étude
journalière de Perek Chira
(traduction libre)

Le Ari Za"l insiste beaucoup sur le fait de le dire chaque jour,
car toutes les créatures ont un prince là-haut. Et c'est le principe
de la parole de nos Sages: toute herbe a un Mazal en haut qui lui
ordonne de pousser, et c'est par ce prince supérieur que la
créature reçoit sa vitalité, et ce prince ne peut influer tant que les
inférieures n'ont pas dit leur Chira. Et donc grâce à ce Perek
Chira l'homme recevra beaucoup plus de bénédictions …

Et c'est aussi la notion de dire Perek Chira chaque jour, car
par le fait que l'homme le dit, qui comprend en lui toutes les
forces, il donne de la force aux anges et princes supérieurs de
toutes ces créatures pour qu'ils puissent encore plus louanger le
Très-Haut, et par cela ils tirent leur vitalité et leur flux de
bénédictions sur tous les êtres inférieurs.

(Rabbi 'Haim de Volozhin
dans Néfech ha'Haim part. I chap. 11)

Et il te faut savoir que toutes les créatures, mêmes si elles ont
leur ange, ce dernier ne peut rien tant que l'homme ne dit pas la
Chira, car tous les êtres passent par l'homme …

Le Yabets
La lecture de Perek Chira est plus puissante que les
Téhilim. Perek Chira est spécial, et est une Ségoula pour de
nombreuses choses … et on arrive à atteindre le but
personnel de notre création, et donc on devient apte au
monde futur. Et il me semble qu'il faut dire Perek Chira le matin
lorsque nous profitons nous-mêmes du renouveau de la création.

Le MABI"T
dans son livre Bet Elok-him

Et il me semble que Perek Chira est une excellente
réparation pour ceux qui font Téchouva, par cette étude chacun
selon son degré cela l'aidera à revenir vers son Créateur de tout
son cœur, de toute son âme et de toutes ses forces.

Sifté Rénanot

Hachem vint chez l'homme pour voir comment il nommé
chaque chose. Hachem a amené toutes les créatures devant
Adam pour que ce dernier réfléchisse et dévoile l'attitude
profonde de chaque espèce, pour les nommer selon cela. Donc
nous voyons que de trouver la louange de chaque créature était
la principale occupation de Adam. Perek Chira est d'un intérêt
énorme pour les hommes, surtout pour ceux qui ne peuvent
étudier. Perek Chira leur sera d'une grande aide pour garder la
Présence divine en eux malgré leur occupation profanes.

Kenaf Rénanim

Tout celui qui étudie le Perek Chira aura le mérite de voir le
Char Divin, et il méritera une longue vie et des bontés comme de
vivre la venue du Messie.

Rabbi Ytshak Wolff
Dans son livre Sia'h Yts'hak

Le Très-Haut a créé l'homme de façon extraordinaire, et a
fait de lui un véritable microcosme. Et comme chaque créature a
sa propre louange, l'homme qui les rassemble toutes doit donc
dire toutes les louanges des créatures. Et c'est le principe de
Perek Chira.

Rabbi Yossef Tsvi Salant - Béer Yossef

La Ségoula extraordinaire de Perek Chira monte très
haut, pour faire descendre sur nous un flux de Bénédiction et de
Bonté. Face aux maladies, aux intempéries de la vie et toutes les
mauvaises choses elle nous protège et nous en sauve si nous
sommes déjà dedans. Pour avoir des enfants, la vie et la
Parnassa son intérêt est immense. Nombreux l'ont fait et cela
leur a amené le sauvetage escompté pour eux et toute
l'assemblée avec.

Le Gaon Rabbi Mordekhaï GROSS chalit"a
Bné Brak

Et si Hachem nous en donne la force nous essaieront de vous ramener des
explications sur chaque louange, pour comprendre le rapport entre la
créature et le verset qu'elle dit!!!
Chlomo Kemmoun

INSTITUTIONS
AHAVAT OLAM

mardi 19 mai 2009

SIYOUM HARAMBAM

LA FERTILITE DANS LE COUPLE

BSD

Tous les Téhilim sont propices pour avoir des enfants.
Quelques conseils issus de lettres du Rabbi dans ce cas:
Il est important de respecter l'ensemble des lois de la pureté familiale. Le Mikvé avec tous ses détails, mais également les lois de séparation, ainsi que la pudeur (Tsniout) etc.
Soutenir les œuvres d'éducation juive.
Donner la Tsédaka avant d'allumer les bougies de Chabbat (en particulier celle de Rabbi Meir Baal Haness) et prier au moment de donner cette Tsédaka.

Cordialement,

Emmanuel Mergui
Éditeur, fr.chabad.org
____________________________

Chabad.org est un Beth 'Habad en ligne ouvert 24h/24h accessible partout dans le monde. Vous pouvez nous aider à aider les autres en étant partenaire de ce projet unique. Cliquez ici:
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dimanche 17 mai 2009

SEGOULA POUR SE MARIER

B"H

Étudier la parachat Ki Tetsé, qui traite du mariage.
La ségoula en pareil cas pour un homme est d'étudier la Michna et la Guémara traité Kidouchin.

TEHILIM LES REMEDES

TEHILIM LES REMEDES

RAHEM

B"H
POUR AVOIR DES ENFANTS.
La prière des parents
pour que tout le programme de l'étude et de la Torah et du couple se réalise avec succès pour les enfants et pour toute la descendance.

Commentaires et traductions
par le Rav Yehoshua Rahamim Dufour
basé sur les livres de nos Sages


Le Chla indique que le moment le plus favorable pour dire cette prière est la veille du mois de Sivane dans lequel nous entrons avant la fête de Chavouôte. En 2007, c'est le 16 mai au soir et le 17
Attention ! Cette page contient un texte saint en hébreu. Si vous l'imprimez, ne la déposez qu'en un endroit respectueux.

J'insère cette traduction (réalisée par moi-même) pour montrer qu'il y a un ordre à mettre dans les demandes de la prière, et seuls les grands Sages connaissent cet ordre.

On pourra donc étudier cette prière en ce sens, pour que toute prière personnelle, ensuite, en tienne compte. Le meilleur commentaire est donné dans la présentation de la paracha Béréchite par le Chla, sur notre site.
Je ne dédie pas cette étude à des personnes particulières car tout juif, femme ou homme, est également concerné.
Merci au merle siffleur de tout son corps et de tout son cœur qui accompagnait si bien les mouvements de notre cœur.

Que les images vous transmettent aussi la saveur de son chant si fin.
________________________________________

Cette prière se trouve dans le livre Chnéï Lou'hote
Habbrite, Massékhéte Tamid, à la fin du chapitre Nér mitsva, où le Chla traite des thèmes de la prière ((îgniané téfila). Elle aurait été rédigée par le grammairien R. Chabtaï Sofer, auteur d'un siddour, livre de prières particulièrement exact (médouyaq) sur le plan de la grammaire. Lire la vie et l'oeuvre dde R. Yehsya Horowitz, dit le Chla ha qadoche, sur ce lien.

Le Chla indique que le moment le plus favorable pour dire cette prière est la veille du mois de Sivane dans lequel nous entrons avant la fête de Chavouôte. Pourquoi ? Parce que c'est le mois dans lequel la Torah nous a été donnée et, pour ce motif, nous avons été nommés "enfants de Hachém notre D-ieu". C'est en vertu de cela que notre demande concernant nos propres enfants trouve là une heure propice (cheâte ratsone). Cette prière concerne donc tous les parents dans leur devoir, leurs aspirations et leur souci envers leurs enfants.
Dans la présentation qu'il en fait, le Chla incite d’abord à prier chaque fois que le cœur le souhaite ou en a besoin,
puis il incite les deux membres du couple, avant qu’ils ne disent cette prière, à mettre en place tout ce qui concerne chacun, à faire téchouva, donner la tsédaqa, jeûner si possible.

Chacun des mots de cette prière rassemble la science de la Tora, de l'étude et du fonctionnement de l'homme, en lui-même, en son couple et dans son lien aux enfants ; elle a donc sa place en ce site bayite (maison) qui repose sur ces principes.

Cette prière nous fait aussi comprendre l'intériorité de l'étude pour le Chla qui est l'un des piliers de notre méthode d'étude.
Cette prière est la formule condensée de tout ce que notre méthode tente de transmettre sous forme didactique de la dimension lyrique, duelle et amoureuse de la Torah.

Pourquoi ce lien entre l'étude et la descendance ?

A un premier niveau, on peut dire que :
- l'étude participe directement à la Création du monde, de même que la descendance; ainsi, les enfants sont nommés en hébreu par les mêmes lettres que "les constructeurs", selon le jeu des sonorités : tes enfants bénaikh, et tes constructeurs bonaikh ;

- nous sommes nommés "enfants de D-ieu" par le don de la Tora ;

- le dessein de D-ieu dans Sa Création est un dessein qui se développe dans le temps et dans les générations qui se succèdent, comme il est dit : Avraham, Yits'haq, Yaâqov, David, Chlomo. Nous sommes nommés "enfants de D-ieu" par le don de la Tora ;

- le dessein de D-ieu dans Sa Création est un dessein qui se développe dans le temps et dans les générations qui se succèdent, comme il est dit : Avraham, Yits'haq, Yaâqov, David, Chlomo, ...

- On veillera à y retrouver tous les concepts et les dynamiques de vie présentés dans le commentaire de la paracha Béréchite.
________________________________________
Prière du Chla Haqqadoche

Toi, en Ton Nom et en Ta volonté, Hachém notre D-ieu
avant que tu n'aies créé le monde
et Toi, Unique, en Ta volonté, qui est notre D-ieu dès que Tu as créé le monde et depuis toujours et à tout jamais, Tu es D-ieu. Et Tu as créé Ton monde dans le dessein de faire connaître Ta divinité par l'intermédiaire de Ta sainte Torah, comme ont dit nos rabbins (que leur souvenir soit bénédiction) : "Béréchite, en un commencement de..., pour la Torah et pour Israël" Car ils sont Ton peuple et Ta part que Tu as choisis parmi toutes les communautés humaines.

Et Tu leur as donné Ta sainte Torah.
Et Tu les as rapprochés de Ton grand Nom.
Et, par l'existence du monde et par l'existence de la Torah, nous sont adressées par Toi, Hachém notre D-ieu, deux prescriptions :

Tu as écrit dans Ta Torah : Fructifiez et multipliez-vous,
et Tu as écrit dans Ta Torah : Et vous enseignerez vos fils, et l'intention de ces deux prescriptions n'est qu'une seule et même réalité.
Car ce n'est pas pour le tohu-bohu que Tu as créé mais pour établir.
Et pour Ta gloire Tu as créé, Tu as façonné et Tu as aussi fait pour que nous soyons, nous, et nos descendants,
et les descendants de tout ton peuple Israël des connaisseurs de Ton Nom et des étudiants de Ta Torah.

Toi, en Ton Nom et en Ta volonté, Hachém notre D-ieu
avant que tu n'aies créé le monde et Toi, Unique, en Ta volonté, qui est notre D-ieu dès que Tu as créé le monde
et depuis toujours et à tout jamais, Tu es D-ieu.
Et Tu as créé Ton monde dans le dessein de faire connaître Ta divinité par l'intermédiaire de Ta sainte Torah, comme ont dit nos rabbins (que leur souvenir soit bénédiction) : "Béréchite, en un commencement de..., pour la Torah et pour Israël"

Zera 'Haya vé Kayema pour avoir des enfants ainsi que Rivka Joanna bat Josselyne Aayza.
Car ils sont Ton peuple et Ta part que Tu as choisis
parmi toutes les communautés humaines. Et Tu leur as donné Ta sainte Torah. Et Tu les as rapprochés de Ton grand Nom. Et, par l'existence du monde et par l'existence de la Torah,nous sont adressées par Toi, Hachem notre D-ieu, deux prescriptions :

Tu as écrit dans Ta Torah : Fructifiez et multipliez-vous,
et Tu as écrit dans Ta Torah : Et vous enseignerez vos fils, et l'intention de ces deux prescriptions n'est qu'une seule et même réalité. Car ce n'est pas pour le tohu-bohu que Tu as créé mais pour établir.
Et pour Ta gloire Tu as créé, Tu as façonné et Tu as aussi fait pour que nous soyons, nous, et nos descendants,
et les descendants de tout ton peuple Israël
des connaisseurs de Ton Nom et des étudiants de Ta Torah.

Ainsi donc, je viendrai vers Toi, Hachém, Roi des rois des rois. J'épancherai ma prière, mes yeux vers Toi suspendus jusqu'à ce que Tu compatisses et entendes ma prière pour me gratifier de fils et de filles, et que eux aussi fructifient et se multiplient, eux et leurs fils et les fils de leurs fils jusqu'à la fin de toutes générations, pour que eux et moi, nous tous, nous fassions de Ta sainte Torah notre occupation, pour étudier et enseigner, garder et faire, et réaliser toutes les paroles de l'étude de Ta Torah en amour. Et illumine nos yeux dans Ta Torah
et fais adhérer nos cœurs à Tes mitsvotes
pour l'amour et pour la crainte de Ton Nom
Notre Père, Père miséricordieux,
donne à nous tous des vies longues et chargées de bénédictions.

Qui est comme Toi, Père miséricordieux qui Te souvient de Tes créatures, pour les faire vivre dans Ta miséricorde ?
Souviens-Toi de nous pour des vies éternelles, comme pria Avraham notre père : "Qu'il vive devant Toi".
Et ils ont commenté nos rabbins (que leur mémoire soit bénédiction) : Dans Ta craindre ainsi donc, je suis venu demander et supplier devant Toi que ma descendance
et la descendance de ma descendance, à tout jamais,
soit une descendance cachère.
Et qu'il ne se trouve pas en moi ni en ma descendance
ni en la descendance de ma descendance, à tout jamais, aucune part répréhensible. Uniquement paix et vérité et ce qui est bon et droit aux yeux de D-ieu et aux yeux des hommes. Et qu'ils soient de ceux qui possèdent la Torah,
des maîtres en Torah, des maîtres en michna, des maîtres en talmud, des maîtres en secrets, des maîtres en mitsvotes, des maîtres dans le souci réel d'autrui, des maîtres dans les qualités que l'on se doit d'être. Et qu'ils Te servent avec amour et avec une crainte intérieure
et non avec une crainte extérieure.
Et donne à chacun d'eux ce qu'il faut pour subvenir dans l'honneur. Et donne-leur santé, honneur et force.
Et donne-leur prestance, beauté, grâce et bonté.
Et qu'il y ait entre eux amour, fraternité et paix.
Et procure-leur de bons conjoints
de la descendance des "talmidéï 'hakhamim, élèves des Sages" et de la descendance des "tsaddiqim, Justes".
Et des conjoints qui soient comme eux, en tout ce que j'ai prié qu'il leur advienne, car ils sont totalement un dans le bien en notre pensée, les uns et les autres.

Toi,Hachem, Tu connais tous les desseins des cœurs
et devant Toi est dévoilé tout ce qui est en mon cœur.
Et il est sûr que mon désir en tout cela est pour Ton Nom grand et saint et pour Ta sainte Tora.
Pour cela, réponds-moi, Hachém, réponds-moi
en faveur des Pères saints Avraham, Yits'haq et Yaâqov
et pour eux, sauve les fils et qu'ils soient des branches semblables à leurs racines.
Et pour David ton serviteur, quatrième base du char de la merkava, le poète qui chante dans le souffle de Ta sainteté : "Chant des degrés, Chir hammaâlote (Psaume 128) :
Heureux est tout homme qui craint Hachem,
qui marche dans Ses voies.
Le labeur de tes mains, sûr que tu en mangeras le fruit,
pour ton bonheur et pour ton bien.
Ta femme est comme une vigne féconde dans l'intérieur de ta maison, tes fils sont comme des plants d'oliviers autour de ta table. Voilà, comment est béni l'homme qui craint Hachém. Il te bénira, Hachém, depuis Sion.
Vois dans le bon de Jérusalem tous les jours de ta vie.
Et vois les fils de tes fils ; paix sur Israël."
B"H

DANS LA TORAH IL EST ECRIT - UN HOMME NE DOIT RESTER SEUL, IL LUI MANQUE SA MOITIE. IL DOIT PRENDRE UNE FEMME POUR EPOUSE.

HAKADOCH BAROUKH HOU NOUS DEMANDE DE PROCREER DANS LE MARIAGE ( POUR AVOIR DES ENFANTS DANS LE COUPLE )


Pour le judaïsme, le mariage est un acte religieux de sanctification (kiddouchin) et d'élévation (nissouhin).
Devant l'Eternel et la communauté d'Israël, un homme et une femme acceptent de vivre ensemble dans l'amour et le respect mutuel, et de transmettre à leur descendance les valeurs traditionnelles. Le couple est alors comparé à un autel de sainteté.
Selon la Torah, trois devoirs incombent au mari : nourrir et vêtir sa femme, et la satisfaire sexuellement.
Les deux premiers devoirs se comprennent dans une société patriarcale où la femme ne travaillait pas; quant au dernier point, il participe de l'équilibre psychologique des conjoints.
La cérémonie du mariage religieux ne sera possible qu'après avoir accompli son devoir civique de mariage à la mairie, selon le principe talmudique la loi du pays est la loi.
Avant le mariage, la fiancée se sera rendue dans un bain rituel ou mikvé. La cérémonie se déroule en général dans une synagogue, mais des dérogations peuvent être obtenues pour une célébration à l'extérieur. Au-dessus des mariés, un dais nuptial (houppa) symbolise le nouveau toit familial. Au cours de l'événement, le rabbin lit l'acte de mariage (kétouba) et l'officiant récite sept bénédictions pour le bonheur du couple. A la fin, le marié brise un verre rappelant que la joie ne peut être complète sans celle de Jérusalem reconstruite avec le Temple.

Convergence entre les valeurs de la République qui fait du mariage une "Institution" et celles de la Torah qui considère celui-ci comme "Mikdach méat" un peu du Temple de Jérusalem et Binian Adei ad une construction éternelle, l'union de deux êtres "selon la Loi de Moïse et d'Israël" est l'un des piliers de la vie juive.
Le Mariage doit donner lieu à une préparation minutieuse et une vérification non moins scrupuleuse du "Statut personnel" au regard de la loi juive de chacun des deux candidats au mariage

RECIT

B"H

Deux jeunes enfans éprouvaient une telle affection entre eux qu'ils ne pouvaient pas vivre l'un sans l'autre. Un jour, un enfant tomba malade malade et son ami en fut très affligé. Il demanda :" que puis-je faire pour qu'il se rétablisse , " On lui conseilla de réciter les Psaumes. Aussitôt il prit le livre et se mit à lire. Chaque jour fois qu'il avait achevé quelques Psaumes, il se penchait vers son ami et l'interrogeait anxieusement : " Ca y est , Tu es guéri ? " Et il continua ainsi jusqu'à son rétablissement complet ! Il faut prier et toujours en toute simplicité, en se persuadant que chaque prière enlève un peu du mauvais décret. Nous devons prier jusqu'à ce que la délivrance arrrive. ( Nétiv Tsadik 16)